A la recherche de l'autre rapport entre Richard Wagner et Woody Allen
Avons-nous le droit d'imposer des images à une musique qui n'a pas été pensée pour ça ? La musique classique utilisée au cinéma : c'est appliquer une émotion nouvelle à une musique sans lui changer la moindre note.

À travers les exemples, entres autres, de Melancholia, de Lars Von Trier, et de Wonder Wheel, de Woody Allen, Tendez l'Oreille repère dans les films les moments où l'action à l'écran donne un sens nouveau à une symphonie. Certes, un dialogue peut être sublimé par la musique... mais l'inverse est également valable : la symphonie va sonner différemment selon la gravité ou la légèreté du dialogue.
Films traités
- Thin Red Line
- The Legend of Bagger Vance
- Melancholia
- Wonder Wheel
Programmation musicale
Dimitri Chostakovitch
Suite pour orchestre de variété : 7. Valse n°2
Orchestre symphonique de la radio de Francfort
Dimitri Kitaienko, dir
RCA 09026 68304 2
Montage Kubrick Schubert / Strauss / Haendel / Ligeti
Gabriel Fauré
Requiem op 48 : In Paradisum - pour baryton soprano orchestre et orgue
William Gaunt, baryton
Grace Davidson, soprano
Ensemble Tenebrae, choeur
Gordan Nikolitch, violon
Orchestre symphonique de Londres
Nigel Short, dir.
LSO0728
Richard Wagner
Melancholia : Proloque
Orchestre Philharmonique de la ville de Prague
Richard Hein, dir.
ZENTROPA MUSIC RF00000036147
Coney Island washboard
The Mills Brothers
JSP RECORDS JSP 1101
- Christophe DilysProduction
- Françoise CordeyRéalisation
- Marion GuillemetCollaboration