L'histoire de la Boite à joujoux, Robot Dingo et l'actu

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Aujourd'hui entrons dans l'univers de la Boite à joujoux du compositeur Claude Debussy : des poupées, quelques notes de musique et les voilà qui s'animent.

Histoire Dingo

Il était une fois dans le monde dingo de la musique classique, La Boîte à Joujoux de Claude Debussy.
L’histoire de la Boîte à joujoux commence avec André Hellé. Peintre, dessinateur et caricaturiste. André Hellé, a consacré une grande partie de sa carrière aux enfants, il a d’ailleurs créé et réalisé de nombreux jouets en bois pour eux.
L'un de ses rêves était de monter un ballet pour marionnettes. Mais pour cela, il faut de la musique. Il s’adresse alors au compositeur Claude Debussy, qui en 1913, débute la composition de la Boite à joujoux, d’abord pour piano, puis pour orchestre.

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L’histoire :
A l’intérieur d’un magasin de jouets - presque dans l’obscurité - par un vitrage on voit un réverbère qui brûle à l’extérieur. Au premier plan, une grande boîte en bois blanc avec couvercle, et un phonographe. Au fond, appuyés contre le mur, Pierrot, Arlequin, Polichinelle et trois poupées dorment.

L'une des poupées se réveille et marche en cadence, se dirigeant vers l’avant scène. Elle touche un interrupteur : Lumière. Elle touche ensuite le phonographe : Musique
Les poupées, Pierrot, Arlequin et Polichinelle se réveillent.

Ces deux derniers vont se battre le cœur de la belle poupée. Encore l’histoire d’un amour compliqué !
Polichinelle, qui est un peu bête et peu sympathique est en couple avec la poupée. Mais le gentil soldat est amoureux de cette même poupée.
Une grande bataille se prépare pour savoir qui aura son cœur…

Question au Professeur Robot Dingo :

Robot Dingo
Robot Dingo

« A quoi sert une clé de sol ? » une question Chloé.

Pour commencer il faut savoir qu’en musique, il y a plusieurs clés : la clé d’ut, la clé de fa et la célèbre clé de sol. Elles sont le repère indispensable pour donner la hauteur des notes qui sont dessinées sur une portée.

Une portée est constituée de cinq lignes horizontales sur lesquelles on va dessiner les notes; soit sur l'une de ses 5 lignes, soit entre deux-lignes, on dira dans l’interligne. Lorsque la portée n’est pas assez grande en haut de ses 5 lignes pour contenir une note très aigüe ou très grave alors on rajoute le temps de cette note une ou plusieurs barre de portée // interlignes en haut ou bas de cette portée.

Plus la note est grave, plus elle est dessinée en bas de la portée et plus elle est aigüe plus elle est dessinée en haut de la portée.
Dans un orchestre par exemple, tous les instruments n’ont pas la même tessiture, ils ne jouent pas tous les mêmes notes. Certains jouent des notes plus aigües que d’autres ou d’autres jouent des notes plus graves que certains… imaginez qu’il n’y aurait pas assez de 5 lignes sur une portée pour pouvoir couvrir toutes les notes que peuvent jouer les instruments dans un orchestre. C’est pourquoi on a crée les clés.

Nous en utilisons essentiellement 3 : la clé de fa, la clé d’ut et la fameuse clé de sol.
Sans clé au début d’une portée, les notes n’auraient aucun sens.

Le point qui est la base de la clé de sol se situe sur la deuxième ligne de la portée en partant du bas. Cela signifie que toutes les notes qui seront dessinées sur cette ligne seront des sols. La note de référence.
Grâce à cette clé de sol nous savons que sur la deuxième ligne en partant du bas, c’est le sol, juste au dessus dans l’interligne entre la deuxième et troisième ligne de la portée ce sera un la, puis au dessus un si puis un do puis un ré etc…

L'équipe

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