Jazz et Ellington sans Duke

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ou comment Duke Ellington est bien plus qu’un musicien ou créateur : un univers

« Il n’y a que deux sortes de musiques : la bonne et la mauvaise… » Duke Ellington

Pour son 150ème numéro, "On ne badine pas avec le jazz" voyage dans l’univers de Duke Ellington, sans qu’il soit physiquement présent.

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Parmi les galaxies du jazz, celle où brille Duke Ellington restera sans doute pour les historiens de la musique l’une des plus rayonnantes du 20ème siècle. La patte du compositeur, pianiste et chef d’orchestre, à la créativité inépuisable, n’explique pas tout. Ses solistes exceptionnels, la symbiose qui les unissait fut sans égale dans l’aventure du jazz.
A preuve, la plupart des vedettes du grand orchestre d’Ellington se sont brulé les ailes, musicalement ou financièrement, lorsqu’ils ont tenté de constituer leurs propres formations. En revanche, le "miracle ellingtonien" s’est toujours produit quand ils ont joué la musique de leur pygmalion, en son absence, ou quand les disciples de Duke ont tenu à lui rendre hommage, à la manière de...

Quels que soient les interprètes, le style ou l’époque, même sans Duke, Ellington ne donne naissance qu’à une seule musique : la bonne!

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