Ouverture du Festival de Saint-Denis avec Le Paradis et la Péri de Robert Schumann

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Dans le cadre du Festival de Saint-Denis, Jérémie Rhorer dirige Marita Solberg, Karine Deshayes, Frédéric Antoun, Ben Johnson... et l'ONF dans l'oratorio de Schumann Le Paradis et la Péri, en direct depuis la Basilique Saint-Denis

Avec

Programme du concert

Robert Schumann
*Le Paradis et la Péri op. 50 *
Oratorio en trois parties d'après un livret de Thomas Moore, Lalla Rookh

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Marita Solberg, soprano : la Péri
Marta Boberska, soprano : la Jeune Fille
Karine Deshayes, mezzo-soprano : l’Ange
Frédéric Antoun, ténor : le Narrateur
Ben Johnson, ténor : le Jeune Homme
Edwyn Crossley-Mercer, baryton : l’Homme

**Choeur de Radio France **
**Michael Alber ** : Chef de choeur
**Orchestre National de France **
Jérémie Rhorer : Direction

La Péri (terme persan pour fée ou elfe), fille d'un ange déchu et d'un mortel, tente d'accéder à nouveau au Paradis dont elle a été exclue du fait de l'impureté de ses origines. Pour ce faire, elle doit apporter à l'ange le bien que le Ciel convoite le plus. Ses deux premiers présents - la dernière goutte de sang d'un guerrier agonisant dans la lutte contre un tyran et le dernier soupir d'une jeune fille morte de la peste dans les bras de son aimé - ne sont pas acceptés par l'ange. Cependant elle se voit offrir l'accès au Paradis lorsqu'elle lui apporte la larme de repentir d'un criminel qui l'a versée en se souvenant de l'innocence de son enfance.
(Source : Wikipédia)

"L’exotisme de Schumann se conjugue, en réalité, sur le même mode que l’univers de l’enfance : un monde où tout est encore possible, neuf et innocent, à la manière d’un de ces paradis perdus dont les romantiques ont tenté la quête impossible. Il n’est pas étonnant du reste que ce soit l’épisode de l’enfant syrien que Schumann a le plus développé, quand, à la fin, l’innocence seule parvient à vaincre la violence et ouvre à la Péri les portes du Paradis. La musique y est au sommet et l’œuvre devient, alors, particulièrement émouvante. Les choeurs y sont plus présents, Schumann y rayonne, le texte est ciselé et ses ensembles ont des couleurs et des accents qui donnent de beaux reliefs aux phrasés dessinés avec une réelle passion."
Marcel Quillévéré

Complément de programme

Avec la participation de Jérémie Rhorer, Marita Solberg, Karine Deshayes, Edwyn Crossley-Mercer et Ben Johnson

Robert Schumann
Fantasiestücke op. 88
II. Romanze

Martha Argerich, piano
Gidon Kremer, violon
Mischa Maisky, violoncelle
Deutsche Grammophon DGG 463700 2

Robert Schumann
*Kinderszenen (Scènes d’enfants) op. 15
I. * Von fremden Ländern und Menschen
*V. * Glückes genug
Martha Argerich, piano
EMI 50999 642673

Robert Schumann
Märchenbilder (Images de contes) pour alto et piano op. 113
III. Rasch

Nobuko Imaï, alto
Martha Argerich, piano
EMI 50999 642673

Robert Schumann
Quatuor à cordes n° 2 en fa majeur op. 41 n° 2
III. Scherzo Presto

Quatuor Hermès
La Dolce Volta LDV 17

Robert Schumann
Andante et Variations pour deux pianos, deux violoncelles et cor en si bémol majeur op. 46
Martha Argerich & Alexandre Rabinovitch, pianos
Natalia Gutman & Mischa Maisky, violoncelles
Marie-Louise Neunecker, cor
EMI 50999 642673

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